J'étais déjà venue à New York, je connaissais donc le choc esthétique que l'on ressent lorsque l'on visite pour la première fois cette ville tant vue au cinéma, les buildings vertigineux, le bourdonnement permanent, la vibrance, l'énergie qui émane de ses habitants toujours en mouvement. Au risque de paraître définitivement obsessionnelle, elle me fait penser à Glasgow, pour ses rues à angle droit et ses blocks très carrés... mais en dix fois plus grand bien sûr. La métropole n'est pas la jungle urbaine que l'on pourrait croire. Les New Yorkais sont souriants (mais si), Greenwich Village est à taille humaine, le monde entier peut tenter sa chance (les garçons qui distribuaient des prospectus touristiques sur Times Square étaient Togolais et parlaient parfaitement français). Les commerçants vous demandent constamment comment vous allez, ce qui peut être un peu fastidieux à la fin de la journée. On sent que tout le monde est tendu vers le même but, gagner de l'argent, réussir, mais vis-à-vis des visiteurs les New Yorkais sont toujours ouverts et respectueux. Bon, comme à Paris, on en profite surtout quand on a de l'argent ou qu'on est étudiant. Gare aux laissés-pour-compte !
samedi, mars 10, 2007
Jet lag (New York, New York, la suite)
J'étais déjà venue à New York, je connaissais donc le choc esthétique que l'on ressent lorsque l'on visite pour la première fois cette ville tant vue au cinéma, les buildings vertigineux, le bourdonnement permanent, la vibrance, l'énergie qui émane de ses habitants toujours en mouvement. Au risque de paraître définitivement obsessionnelle, elle me fait penser à Glasgow, pour ses rues à angle droit et ses blocks très carrés... mais en dix fois plus grand bien sûr. La métropole n'est pas la jungle urbaine que l'on pourrait croire. Les New Yorkais sont souriants (mais si), Greenwich Village est à taille humaine, le monde entier peut tenter sa chance (les garçons qui distribuaient des prospectus touristiques sur Times Square étaient Togolais et parlaient parfaitement français). Les commerçants vous demandent constamment comment vous allez, ce qui peut être un peu fastidieux à la fin de la journée. On sent que tout le monde est tendu vers le même but, gagner de l'argent, réussir, mais vis-à-vis des visiteurs les New Yorkais sont toujours ouverts et respectueux. Bon, comme à Paris, on en profite surtout quand on a de l'argent ou qu'on est étudiant. Gare aux laissés-pour-compte !
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